Thi Hoarau-Auran
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On ne peut s’improviser Centre de formation, formateur ou cheffe de projet !
Simplon, dans les écrits, a une noble mission ! Réinsérer les gens éloignés du travail, les femmes mais aussi permettre une réorientation professionnelle dans un domaine tendu qui est le numérique. Tout cela avec les méthodes agiles, de la bienveillance et des méthodes New Age de management.
Simplon est très bon en communication mensongère, la formation s’intitule Administrateur Systèmes et Réseaux mais en fait elle devrait s’intituler Technicien Supérieur Systèmes et Réseaux (sans parler de la formation SAS Hackeuses qui n’est en fait que du web design et encore !)
Lorsqu’on découvre Simplon, cet organisme avance les partenaires Orange et IBM : leur vitrine !
Dans les faits, pas de suivi, pas de pédagogie différenciée, pas de pédagogie tout court.
Seul Google, it-connect, openclassrooms, … sont nos supports de formation.
Le formateur référent donne du travail mais ne corrige pas (ou la seule fois que l’on en a eu une pas d’explication), on ne termine jamais un projet (Asrérix, FreePBX, EIGRP, OSPF, GLPI, Nagios, …).
Les bases de l’informatique ne sont pas demandées en entrée de formation mais ne sont jamais « expliquées » ni vues, ni enseignées.
La cheffe de projet se targue d’avoir été RH dans une grande structure mais ne sait pas relayer les informations allant jusqu’à la rétention d’informations tant d’un point de vue sanitaire (non déclaration d’un cas covid19 confirmé aux organismes de santé publique ARS et CPAM), que d’un point de vue professionnel non remonté d’information vers le stagiaire ayant été sélectionné par IBM (moi – même) qui fait que l’alternance n’ait pu se faire.
Les ateliers CV et Lettre de Motivation ne sont en fait que la lecture de nos CV et lettres de motivations.
Toute l’équipe de Simplon a aidé à trouver une alternance, mais elle n’a pas su le faire de manière efficiente car elle nous a orienté vers des alternances d’Administrateurs Systèmes et réseaux (que nous ne sommes pas), Ingénieurs (encore moins). Quand on le leur signifie, elle nous répond : « qu’il faut tenter … », « qui ne tente rien n’a rien… ».
Certes, les candidatures sont « poussées » auprès des entreprises ! Mais dès l’entretien la plupart sont recalé(e)s pour doutes sur les capacités techniques (un comble pour une formation technique).
Et tout ce beau monde, très soudé dans leur vision biaisée de la formation mais aussi de la réalité sur le monde du travail dans le domaine technique.
C’est certains que le domaine du numérique restera tendu !
Déçu que l’argent publique soit gaspillé
Côté humain, ce n’est guère mieux.
Il faut être solide psychologiquement. Désorganisé autant d’un point administratif, pédagogique, que relationnel. On est vite pris à parti dès que l’on demande le contrat signé en entrée que l’on obtient que difficilement que plus de 8 mois après.
Il n’y a pas de bienveillance : le formateur référent se permet d’être infantilisant (sous l’approbation de toute l’équipe), humiliant (s’adresse aux stagiaires sans aucun respect=non professionnalisme), se permet d’exclure de la formation (lors des cours en distanciel du au Covid19), …